Parmi les neuf hommes « provisoirement déchus de la nationalité nigérienne » figurent aussi les généraux Mahamadou Abou Tarka, Karingama Wali Ibrahim, Daouda Djibo Takoubakoye, tous considérés comme proches du président renversé Mohamed Bazoum.
« La publication de ce décret contre les anciens collaborateurs du président Mohamed Bazoum est un signal fort pour toutes les voix dissidentes au Niger », estime le journaliste burkinabé Newton Ahmed Barry.