Cette décision, officialisée par des décrets signés par le président de la transition, le capitaine Ibrahim Traoré, a été rendue publique lundi soir.
Les officiers radiés sont accusés de « faute jugée particulièrement grave consistant en une atteinte à la dignité militaire et au renom de l’armée ».
Selon le décret daté du 30 octobre 2024, les accusations incluent des « actions d’intelligence avec une puissance étrangère et des terroristes » visant à « favoriser leurs entreprises contre le Burkina Faso« .
L’ex-président de la transition au Burkina Faso, le lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba, a dirigé le pays de janvier à septembre 2022.